Au seuil d'un nouveau printemps je jette un œil à mes dernières aquarelles qui regardaient l'été s'en aller.
Champ contrechamp entre la petite place et sa rue qui monte vers la tâche claire d'une petite maison aux fenêtres ouvertes et la même rue qui descend, saisie d'une de ces fenêtres un matin de septembre après la pluie.
Le vent, la pluie, le froid appellent l'atelier. Les jours de mars, encore bien incertains, ont déjà de bons moments. Le printemps a des impatiences. Il invite à reprendre pinceaux et sac à dos.