En arrivant à Saint-Jean du Bruel par la route de Nant, à la sortie d'une chicane qui a peut-être valu à l'endroit son nom de Malpas, le village apparaît, sur la rive hauche dela Dourbie en contrebas.
Les murailles surélevées d'un jardin rappellent qu'ici se tenait au Moyen-Age les premiers marchés publics.
En bas coule la Dourbie, si rrégulière, parfois paresseuse, d'autrefois emportée.
Un alignement de toits et de façades paisibles au-dessus d'une végétation dense agitée par le vent comme une houle.
Aquarelle, 30 x 45 cm
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