Une exposition d'aquarelles de Roland Camboulives plonge le visiteur dans les paysages multiples de Grèces, Météores, Parthénon, Lycabette. La série bleue qui les accompagne, réalisée particulièrement pour cet hommage, présente quelques portraits en action de Mikis Theodorakis conduisant son orchestre.
L'exposition reste à la MDVA jusqu'au 20 novembre, 3 Bd des Lices.
Une séance de ciné-club, animée par l'aquarelliste autour du film de
Michaël Cacoyannis, a permis d'approcher une des facettes de l'activité
du compositeur, auteur de plusieurs bandes originales de films comme
celles de Z ou de Serpico.
La conférence de Christiane Catsidonis, émaillée de témoignages personnels, a plongé l'assistance dans les vies multiples de Mikis Théodorakis, résistant, compositeur, homme politique, homme d'action, auteur de grandes symphonies et qui en même temps confiait à la chanson populaire la noble mission de répandre une culture commune porteuse d'identité culturelle, comme au passant qui chante on reprend sa chanson disait Louis Aragon.
Suivait une évocation de quelques unes des musiques les plus connues de Mikis Théodorakis préssentée par Michgel Papahadji et Josie..
La soirée du lendemain, devait confirmer que s'il est souvent vrai qu'en France tout finit par des chanson,il est aussi vrai que les soirées grecques ne peuvent se terminer sans danser.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire