Première aquarelle de la série exposée à Fuveau et Rousset, la colline
endormie illustre le chemin d'une photographie à sa réponse picturale.
Si la peinture ne peut qu'illusoirement reproduire, faisons de cette
illusion la chance d'une recréation.
Voir l'article de présentation sur le site du Comité de jumelage de Fuveau.
La photo de Max, toute en
contre-jour, oppose un ciel lumineux à une plaine sombre au premier plan. Entre les deux s'étend une colline aux formes douces, nimbées de
lumière, suggérant une femme endormie plongée dans les rêves secrets de quelque récit des
origines.
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